A part entière

À part entière et par delà les frontières
partout je chanterais ton nom
je pourrais souffler que tu t'envoles comme une poussière
mais partout à part entière
je te retrouverais

tu pourrais être blanc ,noir, jaune
peu m'importe ta couleur
peu m'importe ta race , peu m'importe ta frontière
je te tendrais la main
à part entière et au delà des frontières 

j'ai croisé ton visage
j'ai vue tes yeux
j'ai croisé ton regard quand tu avais faim
à part entière ,dans le monde entier
je distribuerais des sourires
pas de quoi manger, pas d'eau
mais une main tendue
à la terre entière
à part entière je graverais ton nom 

je connais tes souffrances
tes jours de errance
à part entière
que toute la terre connaisse ton nom
le visage de tes frères ,de tes pères
à part entière je chanterais ton nom
 

ERIC VILLEY
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Je t'écris

Je t'écris

je t'écris cette lettre pour te mettre les mots que je ne t'ai jamais dit
aujourd'hui, nous avons fini une autre tranchée
l'ennemi n'est pas loin
des bruits d'avions, des pluies d'obus, nous sommes entourés
et aussi avant de partir les affronter
je t'écris cette lettre que peut être je ne t'enverrais jamais

tu sais je me souviens de cette ballade
toi et moi main dans la main dans ce grand parc, si calme
ce baiser tendrement déposé sur ta joue
puis marchant tous les deux
ma main dans tes cheveux, cet instant où je t'ai embrassé

je me souviens que tu porté cette belle robe blanche ,transparente
qui laissait deviner tes formes
je me laissait envouté par tes charmes
j'ai souvenir que ce jour la ,à nous laisser aller
nous avons fait l'amour dans un grand champs de blé

je t'écris cette lettre pour te mettre les mots que je ne t'ai jamais dit
je t'écris cette lettre que peut être je ne t'enverrais jamais

as-tu gardé sur toi cette bague que je t'ai offerte
je t'ai promis qu'à mon retour nous pourrions nous marier
oui je t'avais promis de t'épouser

nous venons de finir notre dernière tranchée
c'est à nous de monter à l'ennemi
je ne sais si je reviendrais
alors,,,,,,

je t'écris cette lettre avec mes mots
ceux que je ne t'ai encore jamais dit
je t'écris cette lettre car aujourd'hui je sais que je ne rentrerais jamais

je t'aime,,,,,,toujours je t'aimerais

adieu mon amour
 

ERIC VILLEY
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(Vous pouvez visualiser cette chanson mise en vidéo en cliquant sur ce lien : www.youtube.com/user/villeyeric#p/u/8/rGmdOLcKXE0 )

Le clown

Quand tu le regarde, il te fait rire
mais pénètre son visage
regarde ses yeux
regarde au plus profond
 tu y trouveras cette larme
  
cette larme qui n'a jamais coulée sur sa joue
celle qui fait qu'il souris toujours
il fait rire lui, le clown
et pourtant ce soir
il est si triste
il fait des blagues énormes
parfois il sort de sa manche ,un instrument de musique
comme c'est étrange
toujours le sourire aux lèvres
toujours la pour faire rire
et pourtant ...sur son visage elle descend
cette larme
  
cette larme qui n'a jamais coulée sur sa joue
celle qui fait qu'il souris toujours
il fait rire lui, le clown
et pourtant ce soir
il est si triste
car il remarque aussi
il lis sur ton visage
il regarde mes yeux
et il sais que l'on parle de lui
mais ce soir
c'est plus fort que tout
lui qui se cache derrière son masque
en le regardant il a deviné
que tu l'avais trouvée...cette larme
  
cette larme qui n'a jamais coulée sur sa joue
celle qui fait qu'il souris toujours
il fait rire lui, le clown
et pourtant ce soir
il est si triste
et sur son visage cette larme
vas coulée
ce soir le clown vas pleurer
car c'est triste parfois un clown
ce n'est qu'un homme, après tout....

ERIC VILLEY
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 L'acrymo d'ados

C'était le temps de l'adolescence
nous nous cherchions dans toutes ces causes
ne sachant ou et à qui prêter nos armes
nous arrivions haut comme trois pommes
avec nos voix de révoltés
balançant des mots à tout va et bien souvent n'importe quoi

mais dans ce monde là à notre époque
on avait pas le droit
barricade, lacrymogène
contre nous, contre nos droits

nous avancions sur le chemin
semant à droite, récoltant en face
des petits bouts de sentier battus
qui doucement transformés notre combat en autoroute, pour des milliers d'adolescents
mal dans leur peau et ne sachant quoi faire
dans leur putain de cité dortoir

mais dans ce monde là à notre époque
on avait pas le droit
barricade, lacrymogène
contre nous, contre nos droits 

ados adultes , même combat
j'ai trouvé ma route à moi
j'ai balancé tous mes doutes
même si parfois je me demande
si,,,,

 mais dans ce monde là à notre époque
on avait pas le droit
barricade, lacrymogène
contre nous, contre nos droits

 mais dans mon monde à moi
ta toujours pas le droit
de dire ouvertement tous ce que tu pense
sinon on te montre du doigt
tu peut juste,,,,,

  barricade ,lacrymogène
citoyen derrière tes armes
ta pas le droit
t 'oublies que t'es comme moi

ERIC VILLEY
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De trop aimer

De trop t'aimer, te protéger, te garder à mes cotés
je suis devenu aveugle
aveugle de cet amour là, de ces yeux là, de toi
si on m'avais dit un jour que d'être en amour faisait si mal
je serais resté blotti, caché dans mon coin comme un animal affamé
mais voila, il a suffit d'un simple regard
deux yeux qui se croisent, des mains qui se frôlent
et je suis en amour pour toi
tu peux poser ta tête sur mes épaules
tu peux te réchauffer à mes cotés, je ne bougerais pas
la solitude en amour n'existe pas
je suis, où tu vas
tu est tout pour moi
comme un coeur sans artères sans toi je ne survivrais pas
de trop t'avoir aimé, je suis devenu aveugle
et je finirais ma vie près de toi
garde ma main dans la tienne, car chaque jour qui passe, c'est toi qui guide mes pas
ensemble nous ne trébucherons pas
ou alors, c'est que l'amour nous aura aveuglé toi et moi

ERIC VILLEY
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J'accuse le monde

J'accuse le monde d'être...............
de ne savoir ouvrir les yeux sur un regard triste
j'accuse le monde de cacher sa fortune
et de prendre aux plus pauvres pour mieux s'enrichir.
j'accuse la vie, d'être associée à l'enfer,
d'avoir signé un pacte, pour faire le vide sur cette terre.
j'accuse sans preuve, sans témoin, sans personne.
condamné d'avance pour trouble à l'humanité.
mais la terre entière pourrais hurler,
le monde entier pourrais se révolter,
qui l'entendras?
lui, les bras tendus,
vers qui, vers quoi, pourquoi?
j'accuse, les bras en croix, la vie...
d'avoir trop bien vécu,
d'en avoir profité plus que de nature,
de s'être rassasiée de toutes ses fioritures,
à en faire crever dame nature
à vomir par ses cheminées
à refouler tous ces déchets...
que pouvons nous faire...
à part , accuser le monde entier
d'être responsable de cette terre,
et de ce qu'il en a fait

ERIC VILLEY
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Soldat de plomb

un petit bonhomme, pas bien grand, gentil, pas méchant
ne lui posez pas trop de questions
il n'aime pas ça, il ne parle pas souvent d'ailleurs
il est soldat de plomb

 
les enfants aiment jouer avec lui
dans la rue, ils le bouscule
lui donne des coups
il ne répond jamais
il est soldat de plomb
 
il ne dit jamais rien à personne
et personne ne lui répond
malheureux petit bonhomme
triste soldat de plomb
 
les enfants aiment jouer avec lui
dans la rue , ils le bouscule
lui donne des coups
il ne répond jamais
il est soldat de plomb
 
quand il rentre chez lui, il se renferme sur lui même
il aime sa maison
vous pensez le trouver entouré d'une armée
mais non ,il vie seul dans cette maison
triste petit soldat de plomb
 
les enfants aiment jouer avec lui
dans la rue , ils le bouscule
lui donne des coups
il ne répond jamais
il est soldat de plomb
 
il pleure souvent
ses larmes forment des rigoles
elles sont lourdes de raisons
et lui sans compagnon, sans personne
n'est qu'un pauvre soldat de plomb
 
les enfants aiment jouer avec lui
dans la rue, ils le bouscule
lui donne des coups
il ne répond jamais
il est soldat de plomb

ERIC VILLEY
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Je peint ton visage

Je peint ton visage
un crayon ,une page blanche , ton image
je peint ton visage
du bout des doigts
je le connais par coeur

je poserais doucement ma main sur la feuille
comme on la pose sur une épaule
du bout des doigts, le regard sur toi
je dessinerais ton portrait

je peint ton visage
un crayon ,une page blanche , ton image
je peint ton visage
du bout des doigts
je le connais par coeur

je commencerais par dessiner ton parfum
ensuite tes odeurs
avec des traits fin
je te connais tellement bien
je connais tout de toi

je peint ton visage
un crayon ,une page blanche , ton image
je peint ton visage
du bout des doigts
je le connais par coeur

je te dessinerais tellement bien
on verrais bouger tes yeux
on pourrais même
sentir battre ton coeur
ne rougie pas
tu c'est que j'en suis capable

je peint ton visage
un crayon ,une page blanche , ton image
je peint ton visage
du bout des doigts
du fond du coeur
je te connais par coeur

ton portrait terminé
je le poserais prêt de moi
oui la , tu voit juste à coté
et tous les soirs je pourrais te parler
te raconter mes journées
sécher tes larmes
et te regarder sourire

je peint ton visage
un crayon ,une page blanche , ton image
je peint ton visage
au fond de moi

je le connais par coeur

ERIC VILLEY
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(Vous pouvez visualiser la vidéo de cette chanson mise en musique par mon fils Guillaume et lu par moi meme en cliquant sur ce lien : www.youtube.com/user/villeyeric#p/u/11/peSNLM-cUkM )

De ton corps

Tu n'avais que ton chemisier  blanc transparent comme l'eau claire
j'étais , le dos tourné, le vent derrière
tu est passée devant moi


  refrain
 de ton corps je n'ai gardé que le haut
ces seins nus , ses petits seins pointus
de ce chemisier blanc, j'ai tout oublié
au moment ou tu t'es dévêtue

tu aurais put t'y prendre autrement
tant de manière, c'est élégant
et comme tu sais si bien le faire
tu as dégrafé ton chemisier blanc

refrain
 de ton corps je n'ai gardé que le haut
ces seins nus , ses petits seins pointus
de ce chemisier blanc, j'ai tout oublié
au moment où tu t'es dévêtue

j'avais la tête à l'envers
d'entrevoir ses seins pointés
sous ce corsage blanc
mais qu'elle idée de regarder
nous ne sommes plus des enfants

refrain
 de ton corps je n'ai gardé que le haut
ces seins nus , ses petits seins pointus
de ce chemisier blanc, j'ai tout oublié
au moment ou tu t'es dévêtue

j'avais pas envie de te toucher
je voulais que tu fasse le premier pas
un en avant un en arrière
tu veux ou tu veux pas

refrain
 de ton corps je n'ai gardé que le haut
ces seins nus , ses petits seins pointus
de ce chemisier blanc, j'ai tout oublié
au moment ou tu t'es dévêtue

on a rien entamé
on est resté la à se regarder
toi les seins à l'air
moi les yeux grand ouvert
sur ton corps blanc
 
refrain
 de ton corps je n'ai gardé que le haut
ces seins nus , ses petits seins pointus
de ce chemisier blanc, j'ai tout oublié
au moment ou tu t'es dévêtue

puis il fallait que tu reparte
 tu a refermé ton chemisier blanc transparent comme l'eau claire
j'étais, le dos tourné, le vent derrière
tu est passée derrière moi 

ERIC VILLEY
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On s'écrit

Je sais que tu es folle de mes envies de mes fous rires.
je sais aussi que partout tu dis que tu ne m'aime pas.
tu ne m'aime plus, c'est ma blessure
je suis comme cet animal blessé qui vas se laisser mourir

je sais que tout ce que j'entends c'est des conneries
des paroles en l'air, du vent
des mots qui s'envolent dans l'air du temps


{Refrain:}
et nous comme deux enfants
on s'écrit le verbe aimer au présent
tous ces morceaux de papier pliés
où se cachent des mots d'amant
à trop s'aimer nous nous sommes détruit.
nous comme deux enfants


tous les bruits que l'on entend dans le vent
dit moi que c'est pas vrai
dit moi que tu m'aime de temps en temps
dit moi que les enfants ont eux aussi écris des poèmes et des mots qui s'envolaient au vent

{Refrain:}
et nous comme deux enfants
on s'écrit le verbe aimer au présent
tous ces morceaux de papier pliés
où se cachent des mots d'amant
à trop s'aimer nous nous sommes détruit.
nous comme deux enfants

ERIC VILLEY
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Enfant de là-bas

Je suis enfant de là-bas ,enfant de la rue comme ils disent
je vis ,je ne sais même pas ,je survis
mais bientôt je vais partir
je vais aller chez toi ,en France
un couple vas m'adopter ,m'adopter!!!

illégalement,tu sais avec de l'argent donné aux parents!

c'est comme ça qu'ils appellent les enfants quand l'enveloppe est bien gonflée
je suis enfant de ces pays là
enfant de pays sous développés
c'est ma chance m'a t-on dit , celle de quitter mon pays
un jour tu verras tu reviendras, ils disent toujours ça
si on ne t'as pas vendu pour plus d'argent
l'argent , chez moi on en a pas
et on en a pas besoin ,on vis comme ça
alors dites moi, dites moi pourquoi, maman papa
ils me vendent moi
je suis enfant de là-bas, enfant de la rue
je vis moitié nue, des vêtements j'en ai pas
mais j'en ai pas besoin ,et si je suis dans la rue
c'est que je mi sent bien
alors
oui alors, dites moi
pourquoi
savez vous pourquoi moi et pas un autre ,

 pourquoi ces gens là n'adoptent pas un petit français en toute légalité
je ne comprend pas
je ne comprendrais jamais
seule chose que je sais ,c'est que maman papa
vont avoir de l'argent , et vont pouvoir manger
moi je serais enfant français né la bas
ont m'aura juste volé ma vie, mon identité, mon pays mes racines ...

ERIC VILLEY
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Bougez les bras, bougez les mains

Ne cherche pas dans cette histoire où est le blanc où est le noir
ne cherche pas non plus d'autres couleurs
le monde est devenu désespoir
 
bougez les bras , bougez les mains
les langues de bois c'est pour demain
tapez des pieds, poussez votre voisin
langues de vipères c'est pas d'hier
 
on a beau dire, on a beau faire
le monde ,quand même , tourne à l'envers
les visages ont perdus leur sourire
les traits de caractère ont disparus
ne laissant place!!! mon dieu , misère!!!
 
bougez les bras , bougez les mains
les langues de bois c'est pour demain
tapez des pieds, poussez votre voisin
langues de vipères c'est pas d'hier
 
ne sachant pas notre devenir
je marche dans la rue essayant de sourire
les passants, jouent les caches misère
mais bon dieu ,qu'avez vous fait de notre avenir
qu'avez vous fait à cette terre
 
bougez les bras , bougez les mains
les langues de bois c'est pour demain
tapez des pieds, poussez votre voisin
langues de vipères c'est pas d'hier

ERIC VILLEY
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Tourne manège

Tourne manège de ta vie
une dernière fois, rentre dans la ronde
pour ton ultime nuit
après tu compteras, les heures ,les minutes, les secondes
les douze coups de minuit
ta vie balancera d'entre mes bras
pour t'emmener dans une folle farandole
alors tends moi la main, encore une fois
que je t'emporte vers l'au delà, tu verras...
les arbres en fleur, les cerisiers ,les lilas
vient je t'emmène au paradis de ta vie
tu peux déjà fermer les yeux
tu peux même pleurer si tu veux
là-bas, les larmes sont des diamants
distribués aux derniers arrivant
vient c'est l'heure, dit au revoir à tes amis
tu les retrouveras plus tard
dans ton paradis blanc.

ERIC VILLEY
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Plane

C'est comme cette mouette pleine d'espoir
qui décide de survoler l'océan
emportée par un souffle de vent
chassée par un nuage noir
ne laisse pas tes idées sombres envahir ton corps
pousse les ,tel ce goéland se laissant emporté par le vent venant
le zéphyr à lui seul n'aurais plus suffir à emporter toutes ses lugubritées qu'abrite ton esprit
laisse toi planer, laisse toi aller
jusqu'à entendre les propres battements de ton coeur
marche, regarde autour de toi
rend ton corps vagabond ne serais qu'une seule fois
mais ne laisse pas monter en toi des idées que tu ne penses même pas
ne laisse pas sur cet air là, planer le doute en toi
laisse cette mouette dépasser les nuages
le goéland planer bien d'avantage
ferme les yeux, voit comme le ciel est bleu , beau ,l'océan


ERIC VILLEY
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